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Le troisième jour, nous remontons toujours vers le nord du pays et nous
nous arrêtons au « Centre and
Cheetah Museum », centre de réhabilitation des guépards. Ce centre accueil des guépards orphelins dont la mère a généralement été tuée par un fermier. En effet, les troupeaux de chèvres sont des proies faciles pour les guépards. Les fermiers tuent donc ces prédateurs pour protéger leurs troupeaux. Parfois, les petits n’ont pas eu le temps d’apprendre à chasser avec leur mère et ne peuvent donc survivre dans la nature par eux-mêmes. Du coup, le centre récupère ces guépards, ceux qui peuvent être relâchés le sont et ceux qui ne savent pas chasser restent dans le centre pour aider la population à comprendre cet animal en voie de disparition (il n’en reste que 5000 dans le monde dont 4500 en Namibie). Le Centre élève également des chiens berger d’Anatolie, très grands, pour garder les troupeaux de chèvres. Dès leur plus jeune age, ceux-ci sont élevés avec les chèvres pour qu’ils les considèrent comme leur famille et sont adoptés par les fermiers pour protéger les troupeaux contre les guépards, et réduire ainsi le risque de décimation de leur population.
Cheetah Museum », centre de réhabilitation des guépards. Ce centre accueil des guépards orphelins dont la mère a généralement été tuée par un fermier. En effet, les troupeaux de chèvres sont des proies faciles pour les guépards. Les fermiers tuent donc ces prédateurs pour protéger leurs troupeaux. Parfois, les petits n’ont pas eu le temps d’apprendre à chasser avec leur mère et ne peuvent donc survivre dans la nature par eux-mêmes. Du coup, le centre récupère ces guépards, ceux qui peuvent être relâchés le sont et ceux qui ne savent pas chasser restent dans le centre pour aider la population à comprendre cet animal en voie de disparition (il n’en reste que 5000 dans le monde dont 4500 en Namibie). Le Centre élève également des chiens berger d’Anatolie, très grands, pour garder les troupeaux de chèvres. Dès leur plus jeune age, ceux-ci sont élevés avec les chèvres pour qu’ils les considèrent comme leur famille et sont adoptés par les fermiers pour protéger les troupeaux contre les guépards, et réduire ainsi le risque de décimation de leur population.
Après cette halte très intéressante qui nous a permis d’observer la
quiétude des guépards de très près (ils dorment environ 12h par jour), nous
reprenons la route direction le parc National d’Etosha (22.000 km2, soit presque
grand que la Belgique) où nous passerons 3 jours pour faire un safari sans
guide. Nous avons choisi de traverser le parc d’est en ouest, sur environ 300 kms,
dans notre 4x4 (interdiction formelle de sortir de la voiture en dehors des
zones prévues pour (qui étaient toutes fermées lors de notre première
journée !)). Notre permis en main, c’est aux petites heures que nous
entrons dans le parc où nous croisons déjà la route d’un Koudou, grande et
majestueuse antilope aux immenses cornes torsadées!
On ne s’attendait pas du tout à autant de
facilités pour apercevoir les animaux, les troupeaux de zèbres sont aux bords
de la piste d’un côté, de l’autre un troupeau de springboks (une autre espèce
d’antilope semblant sortir tout droit d’un dessin au fusain) broutent devant
des autruches dodelinant! C’est vraiment incroyable ! Ici nous sommes
en hiver, il n’a plus plu depuis 6 mois, c’est donc une période très adéquate
pour observer les animaux, car ceux-ci rejoignent les différents petits points
d’eaux du parc (qui sont à proximité des pistes) pour s’hydrater. Chaque point
d’eau est un spectacle à part entière. On se croirait dans un Walt
Disney !
Des zèbres, springboks, et impalas s’abreuvent tranquillement quand 4 éléphants (que nous avions entraperçus plus tôt entre les arbres) arrivent placidement pour faire de même. Ce qui entraine un petit remue-ménage dans le point d’eau, les autres animaux laissant évidemment la place à ce grand pachyderme avec un mélange de respect et de frayeur. Une fois installés, les autres animaux reviennent et tout ce petit monde profite du point d’eau s’abreuvant ou s’aspergeant ! Magique !!
Nous avons eu la chance de croiser la route d’autruches (tête hors du sable), phacochères (avec leur petite queue en l’air), hyènes (avec leur rire caractéristique), rhinocéros (deux sortes : les blancs broutant uniquement au sol, et les noirs se nourrissant des feuilles des arbres, se distinguant donc à la forme de leur lèvres), éléphants, girafes (traversant nonchalamment les pistes), impalas, gnous (donnant l’impression de courir sur un trampoline), bubales (antilope brune majestueuse), koudous, springboks, zèbres, écureuils terrestres, et d’autres espèces que j’oublie probablement ! Ah ben oui j’oublie le ratel, vous ne connaissez certainement pas cette charmante bête, mais bien avant de partir en Namibie nous avions vu qu’une des bêtes les plus redoutables de la savane était le ratel, qui peut se battre contre tout le monde, tant les lions que les pythons.
Il n’a peur de rien, il est teigneux, il résiste à tout, aux morsures, aux piqûres et il a une arme redoutable : il pète pour faire fuir ses ennemis (pour peu qu’il en aie) ou s’attaque directement au scrotum des mâles pour leur causer une hémorragie interne fatale (autant vous dire que nos hommes ont portés des slips en zinc pendant 3 jours). Bref, ce n’est pas le genre d’animal qu’on a envie de voir passer à coté de soi, le soir, quand on regarde tranquillement les photos prises la journée au coin de la tente… Je ne vous dis pas le bond qu’on a fait quand on l’a reconnu ! Monsieur aime à se nourrir dans les poubelles du campement! Bref une rencontre assez inattendue !
Des zèbres, springboks, et impalas s’abreuvent tranquillement quand 4 éléphants (que nous avions entraperçus plus tôt entre les arbres) arrivent placidement pour faire de même. Ce qui entraine un petit remue-ménage dans le point d’eau, les autres animaux laissant évidemment la place à ce grand pachyderme avec un mélange de respect et de frayeur. Une fois installés, les autres animaux reviennent et tout ce petit monde profite du point d’eau s’abreuvant ou s’aspergeant ! Magique !!
Nous avons eu la chance de croiser la route d’autruches (tête hors du sable), phacochères (avec leur petite queue en l’air), hyènes (avec leur rire caractéristique), rhinocéros (deux sortes : les blancs broutant uniquement au sol, et les noirs se nourrissant des feuilles des arbres, se distinguant donc à la forme de leur lèvres), éléphants, girafes (traversant nonchalamment les pistes), impalas, gnous (donnant l’impression de courir sur un trampoline), bubales (antilope brune majestueuse), koudous, springboks, zèbres, écureuils terrestres, et d’autres espèces que j’oublie probablement ! Ah ben oui j’oublie le ratel, vous ne connaissez certainement pas cette charmante bête, mais bien avant de partir en Namibie nous avions vu qu’une des bêtes les plus redoutables de la savane était le ratel, qui peut se battre contre tout le monde, tant les lions que les pythons.
Il n’a peur de rien, il est teigneux, il résiste à tout, aux morsures, aux piqûres et il a une arme redoutable : il pète pour faire fuir ses ennemis (pour peu qu’il en aie) ou s’attaque directement au scrotum des mâles pour leur causer une hémorragie interne fatale (autant vous dire que nos hommes ont portés des slips en zinc pendant 3 jours). Bref, ce n’est pas le genre d’animal qu’on a envie de voir passer à coté de soi, le soir, quand on regarde tranquillement les photos prises la journée au coin de la tente… Je ne vous dis pas le bond qu’on a fait quand on l’a reconnu ! Monsieur aime à se nourrir dans les poubelles du campement! Bref une rencontre assez inattendue !
Les 3 soirs, nous dormions en campings, aménagés dans le parc. Là aussi
nous pouvions assister au crépuscule ou à l’aube au spectacle des animaux, car
un point d’eau permanent et éclairé la nuit permettait une observation assez
proche des animaux. J’ai eu la chance d’apercevoir 2 lionnes et un lion un soir
en me rendant au point d’eau 5 minutes seule pour voir ce qui se passait, gros
coup de bol ! Un autre soir, nous avons eu la chance de voir 2 éléphants se
câliner et 6 rhinocéros (3 mères et leurs petits) faire de très longs
conciliabules dans la mare, et entendre le rire des hyènes en fond !
Au troisième campement, l’aménagement était plus respectueux pour l’animal avec lampe infrarouge et hutte d’affût pour l’observation le soir. Du coup, nous avons eu la chance de voir une horde d’une trentaine d’éléphants venir s’abreuver par petits groupes de 7-8 avec de tous petits éléphanteaux et un gros mâle qui essayait de sauter toutes les femelles ! Assez incroyable ! Pascale et Dédé, passionnés d’ornithologie, nous ont aussi ouverts les yeux sur le monde des oiseaux et nous avons pu ainsi observer 58 espèces différentes allant des aigrettes, secrétaire, outarde,
calao, bulbul, chouette, aigles, vautours, aux faucons attrapant une perdrix en vol (et j’en passe)! Un dernier instant assez magique que nous avons vécu durant le safari fut le moment où un énorme éléphant de bien 4-5 mètres de haut passa devant notre voiture pour aller rejoindre le point d’eau. Là, tout le monde retient son souffle, personne ne parle et on profite (et on espère secrètement que quelque chose ne le stitche pas et qu’il nous fonce dessus !) Bref comme vous l’aurez compris, on a adoré Etosha !
Au troisième campement, l’aménagement était plus respectueux pour l’animal avec lampe infrarouge et hutte d’affût pour l’observation le soir. Du coup, nous avons eu la chance de voir une horde d’une trentaine d’éléphants venir s’abreuver par petits groupes de 7-8 avec de tous petits éléphanteaux et un gros mâle qui essayait de sauter toutes les femelles ! Assez incroyable ! Pascale et Dédé, passionnés d’ornithologie, nous ont aussi ouverts les yeux sur le monde des oiseaux et nous avons pu ainsi observer 58 espèces différentes allant des aigrettes, secrétaire, outarde,
calao, bulbul, chouette, aigles, vautours, aux faucons attrapant une perdrix en vol (et j’en passe)! Un dernier instant assez magique que nous avons vécu durant le safari fut le moment où un énorme éléphant de bien 4-5 mètres de haut passa devant notre voiture pour aller rejoindre le point d’eau. Là, tout le monde retient son souffle, personne ne parle et on profite (et on espère secrètement que quelque chose ne le stitche pas et qu’il nous fonce dessus !) Bref comme vous l’aurez compris, on a adoré Etosha !
On quitte Etosha direction Palmwag et nous entamons notre descente dans
le sud du pays en passant par le massif du Grootberg qui nous offre des lignes
d’horizons et des couleurs grandioses. Nous passerons ici une nuit en lodge
bien méritée !
Généralement, lorsque nous dormons en lodge, nous allons au restaurant de l’hôtel. Le buffet est très varié et nous permet de gouter des assortiments de viandes type carbonade de koudou, stroganov d’éland, steak d’impala, d’oryx, de springbok et du porc et comme accompagnements de très bonnes salades, des haricots verts et du chou rouge ! Quand nous sommes au campement le menu c’est chips, bière, pâtes avec une bonne sauce et du fromage découpé avec amour le tout sous la voie lactée ! Cette nuit en lodge n’est pas aussi reposante que ce qu’on pourrait imaginer ; en effet, à minuit Oli me réveille pour me dire qu’il a entendu notre hutte se faire secouer très fort… Bon, on nous avait prévenu que ça pouvait arriver, on avait même à coté de l'anti-moustique un klaxon corne de brume en cas de problèmes, mais on n'y croyait quand même pas et pourtant si! On regarde par la fenêtre de la chambre et là on voit un éléphant en train de passer à coté de notre chambre, se grattant le dos contre le toit en paille ! Bon,vous nous connaissez maintenant, vous vous doutez bien qu’on a vite mis nos chaussures pour le suivre !
On sort donc de notre lodge à moitié endormi et on l’entend à quelques mètres de nous manger tranquillement les arbres ; le bruit des branches arrachées dans la nuit est assez impressionnant et je dois bien avouer que je n’étais pas très à l’aise cachée derrière ma table de jardin ! Mais en rentrant plus tard dans la chambre, on se demandait vraiment si on n’avait pas rêver ce moment !
Généralement, lorsque nous dormons en lodge, nous allons au restaurant de l’hôtel. Le buffet est très varié et nous permet de gouter des assortiments de viandes type carbonade de koudou, stroganov d’éland, steak d’impala, d’oryx, de springbok et du porc et comme accompagnements de très bonnes salades, des haricots verts et du chou rouge ! Quand nous sommes au campement le menu c’est chips, bière, pâtes avec une bonne sauce et du fromage découpé avec amour le tout sous la voie lactée ! Cette nuit en lodge n’est pas aussi reposante que ce qu’on pourrait imaginer ; en effet, à minuit Oli me réveille pour me dire qu’il a entendu notre hutte se faire secouer très fort… Bon, on nous avait prévenu que ça pouvait arriver, on avait même à coté de l'anti-moustique un klaxon corne de brume en cas de problèmes, mais on n'y croyait quand même pas et pourtant si! On regarde par la fenêtre de la chambre et là on voit un éléphant en train de passer à coté de notre chambre, se grattant le dos contre le toit en paille ! Bon,vous nous connaissez maintenant, vous vous doutez bien qu’on a vite mis nos chaussures pour le suivre !
On sort donc de notre lodge à moitié endormi et on l’entend à quelques mètres de nous manger tranquillement les arbres ; le bruit des branches arrachées dans la nuit est assez impressionnant et je dois bien avouer que je n’étais pas très à l’aise cachée derrière ma table de jardin ! Mais en rentrant plus tard dans la chambre, on se demandait vraiment si on n’avait pas rêver ce moment !
Le matin, nous partons dans la concession de Palmwag avec la voiture
pour faire un circuit où nous devons activer la fonction 4x4, les paysages sont
époustouflants avec un mélange de couleur ocre du sol et vert des buissons, et
la route est assez amusante à rouler bien qu’après 20 minutes passées dans le
lit de la rivière qui secoue bien, je me serai bien arrêtée. Généralement, nous
faisons les activités tôt matin et la route sur le temps de midi car dans le
nord du pays les températures atteignent vite 35 degrés et il fait étouffant,
et le soleil se couche vers 5h45 donc à 6h15 il fait nuit. Les 3-4 prochains
jours la route est assez courte et nous effectuons en général 150km en
3-4heures. Les routes (enfin, pistes) sont assez bonnes en règle générale avec
quelques passages plus secouant par moment. Nous n’avons du mettre le 4x4 en
marche qu’une fois quand nous passions dans le sable dans le sud du pays !
Nous voici donc en route vers Twyfelfontein, « fontaine capricieuse »,
un site de gravures rupestres gravées par les bushmans il y a plus de 1500 ans,
classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Gravés dans la roche, on retrouve des
girafes, rhinocéros, des oryx et autres animaux de la région, des pieds faisant
office de signatures des gravures, des empreintes d’animaux pour
l’apprentissage aux jeunes chasseurs, mais aussi des cartes indiquant les
points d’eau aux alentours. Un peu plus loin, on visite un site deux site
géologiques particuliers les « organ pipe » (colonnes de dolérite de
4m de haut) et la montagne brulée (amas de scories).
Le campement de Twyfelfontein est assez magique, on est installés entre
les rochers avec notre petite salle de bain privée incrustée dans la roche et
chauffée au feu à bois.
Vraiment beau ! On est allés visiter le lodge aussi, qui est assez luxueux, avec un bar au sommet des rochers où sont installés des coussins pour que les clients puissent admirer le coucher du soleil, et le tout très discret et respectueux de l’environnement !
Vraiment beau ! On est allés visiter le lodge aussi, qui est assez luxueux, avec un bar au sommet des rochers où sont installés des coussins pour que les clients puissent admirer le coucher du soleil, et le tout très discret et respectueux de l’environnement !
Après une bonne nuit et un feu de camp, on reprend la route vers
Brandberg, point culminant de la Namibie (2500m) qui abrite la peinture
rupestre de la White Lady qui en faite n’est pas une femme blanche mais un
sorcier peint en blanc pour un rituel shamanique. On y trouve aussi des girafes
dessinées avec un long coup qui va jusque dans les nuages pour apporter la
pluie trop rare dans ce pays.
Nous avons aussi pisté des éléphants avec notre guide, crapahuté dans les rochers pour essayer de les trouver ! On ne pensait pas que des éléphants pouvaient se cacher aussi facilement mais finalement nous les trouverons, tous les 3 en train de manger paisiblement et de creuser la terre pour trouver de l’eau. Ici ce sont des éléphants du désert donc nettement plus petits (vu le manque de ressources) que ceux que nous avons croisé à Etosha.
Nous avons aussi pisté des éléphants avec notre guide, crapahuté dans les rochers pour essayer de les trouver ! On ne pensait pas que des éléphants pouvaient se cacher aussi facilement mais finalement nous les trouverons, tous les 3 en train de manger paisiblement et de creuser la terre pour trouver de l’eau. Ici ce sont des éléphants du désert donc nettement plus petits (vu le manque de ressources) que ceux que nous avons croisé à Etosha.
On continue notre descente dans le pays pour arriver à Spitzkoppe, montagne
de granite qui culmine à 1800m au-dessus de la plaine. Ici camping plus
sommaire, pas d’électricité et pas de douche privée mais toujours dans les
rochers et au calme avec la voie lactée.
Au programme randonnée libre dans les formations rocheuses avec vue sur la plaine. On en profite pour bien se dégourdir les jambes et grimper sur les rochers qui ont une couleur ocre et avec le ciel bleu l’effet des couleurs est simplement superbe !
Au programme randonnée libre dans les formations rocheuses avec vue sur la plaine. On en profite pour bien se dégourdir les jambes et grimper sur les rochers qui ont une couleur ocre et avec le ciel bleu l’effet des couleurs est simplement superbe !
Nous sommes à la moitié de notre voyage et nous venons d’arriver à Walvis Bay, le premier port de Namibie. Nous avons déjà parcouru quelques 1900km à travers le nord du pays, nous faisons donc ici une petite halte de deux jours dans une guest house histoire de recharger nos batteries ! Le soir, nous changeons un peu notre menu et mangeons du poisson ! Des huitres délicieuses en entrée, fraichement pêchée du matin et un plateau de poissons ou un curry de poissons pour suivre, c’était délicieux, on mange décidément très bien en Namibie !
Le matin nous avons prévu une activité kayak… au beau milieu d’une colonie
de plus 10.000 otaries !!!C’était vraiment génial ! Au début un peu
timides, les otaries n’osaient pas trop nous approcher, mais une fois leur
confiance gagnée, elles se retournaient
sur le dos à la demande de gratouilles ! En fait, elles ont un peu un
comportement de chien, une otarie était particulièrement jouette, d’abord elle
essayait de nous mordiller et de grimper sur notre kayak (sans succès), pour
finir par se calmer et rester sur le dos près de notre kayak à la demande de
caresses ! Une autre otarie réussira à monter sur notre kayak, d’abord
derrière Oli, puis entre nous deux, puis devant moi ! Assez
inattendu ! En débarquant sur la plage, notre guide nous crie
« baleine »…juste à temps pour observer une baleine à bosse émerger quelque
fois. Encore un beau moment d’interaction avec les animaux qu’on n’oubliera pas
de si tôt !
Suite des aventures au prochain épisode les amis !
Bonsoir Malou et Olivier,
RépondreSupprimerC'est un vrai plaisir de vous suivre à nouveau dans votre périple. On y retrouve tous vos talents de
conteurs et de photographes pour partager avec nous ces moments hors du commun. On se croirait dans "Le Jardin Extraordinaire" ou dans "Ushuaïa Nature". Merci de nous emmener par l'esprit dans une poche de vos sacs à dos. Sylvie (amie et ex-collègue de Dominique)
Coucou Sylvie,
SupprimerMerci beaucoup pour ton commentaire, il nous va droit au coeur ! C'est ce genre de remarques qui nous motive aussi pour continuer la rédaction de nos aventures. On espère que la deuxième partie te plaira tout autant!
Et on garde toujours une petite place dans nos sacs pour les esprits voyageurs ;-)
A bientôt,
O&M